au coin du feu

Coucou vous

Je pars demain matin sur les routes de l'est , un coucou à Colmar , un petit séjour en famille à Belfort , ma ville de naissance que je ne connais pas si bien que ça

J'espère faire quelques belles photos à partager avec vous

Des bises , des bises et des bises

Wapkivabutiné

Coucou du soir ...

Si belle cette vue Nyco pour petit déjeuner ... elle fleure bon l'air marin

Que j'aime tes flâneries au bord de l'eau Jluc, douces et bucoliques

Mimi, j'espère que tu auras passé une belle journée auprès de tes tinanges.

Lili, doux voyage, sois heureuse, profite bien de ton séjour.

Des bisous

Juste un geste, un élan...Pour demain...et jeudi...Et enfin vendredi...!





à ... Bientôt...Bonne nuit...

coucou ;-)))

bonnes vacances wappa, ramène nous de belles photos et passe du bon temps... il y a le copain de Phil qui est originaire de Belfort...

mes tinanges ont été grognons mais relativement gentils et obéissants, il a fait très beau donc ils ont joué dans le jardin, nous leur avions donné de l'eau.... inutile de vous dire ce qu'ils ont pu s'amuser, ils ont terminé en slip et nu pieds.... dommage que je n'avais pas pris mon appareil photo.

je pense que je ne vais pas tarder à aller rejoindre Morphée, ayant mal dormi la nuit dernière, j'ai bien besoin de récupérer ;-)))

bonjour à tous..

de bonnes vacances dans tes "racines" wappa..

bientot malounette rentre des siennes... à moins qu'un certain volcan en décide autrement!

bon jeudi ,bon tit dej...

hello, bonjour tout le monde ;-)))

il fait beau le soleil brille, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes

bonne journée à tous

Bonjour, Bonsoir ...

Plus qu'un zeste, un souffle, une poignée d'heures et vendredi sera là ...

J'espère que votre journée a été douce.

Wapkibutine a fait bonne route sous le soleil.

Prenez soin de vous

Bisous

Hello

Un dernier saut et c'est.....Vendredi soir....Et samedi.....Et dimaaaaaanche !
Deux looooooongues journées pour butiner !

un tit dej malgache pour fêter le retour "anticipé" mais réussi par malounette..



Le restaurant “le TK”, et “le TK bar” ainsi que les salons se tiennent dans le lodge principal qui propose également quatre terrasses d’où vous profiterez de la splendide vue à 280° sur la baie, la Grande Terre de Madagascar et les montagnes Tsaratanana.

bon "dernier saut" de la semaine à tous!

bonjour tout le monde ;-)))

merci Nyco pour ce magnifique petit dej, je prends un café sur le versant et je profite du soleil qui a complètement disparu chez moi (((((((- il pleut (((((((((-

NYCO a écrit:

un tit dej malgache pour fêter le retour "anticipé" mais réussi par malounette..



Le restaurant “le TK”, et “le TK bar” ainsi que les salons se tiennent dans le lodge principal qui propose également quatre terrasses d’où vous profiterez de la splendide vue à 280° sur la baie, la Grande Terre de Madagascar et les montagnes Tsaratanana.

bon "dernier saut" de la semaine à tous!

maryanto a écrit:

bonjour tout le monde ;-)))

merci Nyco pour ce magnifique petit dej, je prends un café sur le versant et je profite du soleil qui a complètement disparu chez moi (((((((- il pleut (((((((((-

Coucou,

Magnifique ce petit déjeuner, c'est le paradis cet endroit, un rêve

Bon retour à Malo.

Gris ici aussi Mimi ... mais pas de pluie pour l'instant.

Jluc tes sauteurs sont infatigables et audacieux, quelle souplesse !!

Allez un petit dernier et nous serons le week end !!!

Des bisous

ps : allez, au diable le boulot, c'est trop beau, je m'asseois et ne bouge
plus !!

bonne nuit mes agneaux, faites de doux rêves... à demain ;-)))

bonjour, bonjour ;-)))

debout là dedans !!!! je pose le petit dej.... ne tardez pas trop où le café va refroidir

Ayé suis debout !!! merci pour le petit déj. le café est encore chaud.

Belle journée à tous, en particulier à Malo que je vois connectée !!!

Bon retour. Hâte que tu nous racontes ton voyage.

Des bisous

hello les BBM'sfriends
ayest, c'est fini!!!!!! , après en avoir tant rêvé, tant parlé!!!! mais bon, je l'ai vécu à fond ce voyage au coeur d'un groupe fort sympathique ( apéro ts les jours ) et un guide plus qu'adorable

j'ai lu vos échanges
il est vrai qu'au départ, ns avons eu de la chance de venir à Paris samedi, cela ns a évité de passer 12 heures à Roissy avant le décollage comme bcp car même si les gens avaient été prévenus la veille du retard, nombreux étaient ceux qui avaient des billets SNCF non échangeables, non remboursables...
quant au retour, il fut qq peu prématuré ( 16h en avance): ns avons donc perdu sur place un matinée et une journée de visites, ça fait un peu râler: cependant au regard du bazar noir qu'il y a eu on peut s'estimer heureux d'avoir juste passé 3 heures de trop la nuit à l'aéroport de Tana....

une 'tite photo de l'arbre emblème de Mada, le " ravenalo" ou arbre du voyageur



oui, le ciel est gris, ns avons eu un temps mitigé les premiers jours: ns étions en altitude sur les "zhauts plateaux" ( dixit not' amour de guide) et plutôt côté Est, c'est à dire la zone ts humide de Mada
ns avons trouvé plus de soleil et bcp de chaleur en allant vers l'Ouest

bon week end

bonne nuit mes amis, faites de doux rêves,

je pose un petit déj dominical...




bonne journée à ceux qui sont restés là,sont partis ou sont revenus...
des bises ...

Bonjour, beau dimanche à tous !!!

Cet arbre du voyageur est impressionnant !!! j'aime.

Ce petit déjeuner au bord de l'eau est idéal merci

Bientôt l'heure de l'apéro ...

Tapas


Antipasti


Sushi


Douce journée, où que vous soyez.

Bisous

MIAM!!!
je pioche!!!

merchmi!

Kiiiko mes agneaux !

Avant de vous servir l'apéro ! (double dose ! c'est dimanche soir ! ,-)))
je vous laisse une jolie poésie de Victor Hugo que j'ai découverte aujourd'hui dans une bien belle exposition : "Les Orientales"

Je vous l'offre ! ,-)))

Les Djinns de Victor Hugo !

Murs, ville
Et port,
Asile
De mort,
Mer grise
Où brise
La brise
Tout dort.

Dans la plaine
Naît un bruit.
C'est l'haleine
De la nuit.
Elle brame
Comme une âme
Qu'une flamme
Toujours suit.

La voix plus haute
Semble un grelot.
D'un nain qui saute
C'est le galop.
Il fuit, s'élance,
Puis en cadence
Sur un pied danse
Au bout d'un flot.

La rumeur approche,
L'écho la redit.
C'est comme la cloche
D'un couvent maudit,
Comme un bruit de foule
Qui tonne et qui roule
Et tantôt s'écroule
Et tantôt grandit.

Dieu! La voix sépulcrale
Des Djinns!... - Quel bruit ils font!
Fuyons sous la spirale
De l'escalier profond!
Déjà s'éteint ma lampe,
Et l'ombre de la rampe..
Qui le long du mur rampe,
Monte jusqu'au plafond.

C'est l'essaim des Djinns qui passe,
Et tourbillonne en sifflant.
Les ifs, que leur vol fracasse,
Craquent comme un pin brûlant.
Leur troupeau lourd et rapide,
Volant dans l'espace vide,
Semble un nuage livide
Qui porte un éclair au flanc.

Ils sont tout près! - Tenons fermée
Cette salle ou nous les narguons
Quel bruit dehors! Hideuse armée
De vampires et de dragons!
La poutre du toit descellée
Ploie ainsi qu'une herbe mouillée,
Et la vieille porte rouillée,
Tremble, à déraciner ses gonds.

Cris de l'enfer! voix qui hurle et qui pleure!
L'horrible essaim, poussé par l'aquillon,
Sans doute, o ciel! s'abat sur ma demeure.
Le mur fléchit sous le noir bataillon.
La maison crie et chancelle penchée,
Et l'on dirait que, du sol arrachée,
Ainsi qu'il chasse une feuille séchée,
Le vent la roule avec leur tourbillon!

Prophète! Si ta main me sauve
De ces impurs démons des soirs,
J'irai prosterner mon front chauve
Devant tes sacrés encensoirs!
Fais que sur ces portes fidèles
Meure leur souffle d'étincelles,
Et qu'en vain l'ongle de leurs ailes
Grince et crie à ces vitraux noirs!

Ils sont passés! - Leur cohorte
S'envole et fuit, et leurs pieds
Cessent de battre ma porte
De leurs coups multipliés.
L'air est plein d'un bruit de chaînes,
Et dans les forêts prochaines
Frissonnent tous les grands chênes,
Sous leur vol de feu pliés!

De leurs ailes lointaines
Le battement décroît.
Si confus dans les plaines,
Si faible, que l'on croit
Ouïr la sauterelle
Crier d'une voix grêle
Ou pétiller la grêle
Sur le plomb d'un vieux toit.

D'étranges syllabes
Nous viennent encor.
Ainsi, des Arabes
Quand sonne le cor,
Un chant sur la grève
Par instants s'élève,
Et l'enfant qui rêve
Fait des rêves d'or.

Les Djinns funèbres,
Fils du trépas,
Dans les ténèbres
Pressent leur pas;
Leur essaim gronde;
Ainsi, profonde,
Murmure une onde
Qu'on ne voit pas.

Ce bruit vague
Qui s'endort,
C'est la vague
Sur le bord;
C'est la plainte
Presque éteinte
D'une sainte
Pour un mort.

On doute
La nuit...
J'écoute: -
Tout fuit,
Tout passe;
L'espace
Efface
Le bruit.

Victor Hugo

P.S. oui ! je sais, j'ai toujours eu une large préférence pour les poésies mélancoliques et sombres.

Oh c'est beau ... j'aime ce gris, ces bruits, la nuit et la douceur aussi ....

Un chant sur la grève
Par instants s'élève,
Et l'enfant qui rêve
Fait des rêves d'or...

Merci pour la poésie et pour l'apéro aussi

Bisous du soir

Douce soirée à tous

coucou les amis.... pour moi ce fut tout sauf poétique, une tornade est passée chez moi.... ils m'ont épuisée !!!! je les ai rendus très volontiers aux parents... moi j'avais assez donné

je vous souhaite une excellente nuit réparatrice, peuplée de doux rêves

bonjour, bonjour ....

fô tout faire dans ces montages, ouvrir, fermer, servir le petit dej !!!!

allez debout, la semaine démarre et le boulot rerprend

et pour accompagner ce beau petit dej: un autre poeme de victor hugo que j'adore :

Ce qu'on entend sur la montagne

Ô altitudo !

Avez-vous quelquefois, calme et silencieux,
Monté sur la montagne, en présence des cieux ?
Était-ce aux bords du Sund ? aux côtes de Bretagne ?
Aviez-vous l'océan au pied de la montagne ?
Et là, penché sur l'onde et sur l'immensité,
Calme et silencieux, avez-vous écouté ?
Voici ce qu'on entend : - du moins un jour qu'en rêve
Ma pensée abattit son vol sur une grève,
Et, du sommet d'un mont plongeant au gouffre amer,
Vit d'un côté la terre et de l'autre la mer,
J'écoutai, j'entendis et jamais voix pareille
Ne sortit d'une bouche et n'émut une oreille.

Ce fut d'abord un bruit large, immense, confus,
Plus vague que le vent dans les arbres touffus,
Plein d'accords éclatants, de suaves murmures,
Doux comme un chant du soir, fort comme un choc d'armures
Quand la sourde mêlée étreint les escadrons
Et souffle, furieuse, aux bouches des clairons.
C'était une musique ineffable et profonde,
Qui, fluide, oscillait sans cesse autour du monde,
Et dans les vastes cieux, par ses flots rajeunis,
Roulait élargissant ses orbes infinis
Jusqu'au fond où son flux s'allait perdre dans l'ombre
Avec le temps, l'espace et la forme et le nombre.
Comme une autre atmosphère épars et débordé,
L'hymne éternel couvrait tout le globe inondé.
Le monde, enveloppé dans cette symphonie,
Comme il vogue dans l'air, voguait dans l'harmonie.

Et pensif, j'écoutais ces harpes de l'éther,
Perdu dans cette voix comme dans une mer.
Bientôt je distinguai, confuses et voilées,
Deux voix, dans cette voix l'une à l'autre mêlées,
De la terre et des mers s'épanchant jusqu'au ciel,
Qui chantaient à la fois le chant universel ;
Et je les distinguai dans la rumeur profonde,
Comme on voit deux courants qui se croisent sous l'onde.

L'une venait des mers ; chant de gloire ! hymne heureux !
C'était la voix des flots qui se parlaient entre eux ;
L'autre, qui s'élevait de la terre où nous sommes,
Était triste ; c'était le murmure des hommes ;
Et dans ce grand concert, qui chantait jour et nuit,
Chaque onde avait sa voix et chaque homme son bruit.

Or, comme je l'ai dit, l'océan magnifique
Épandait une voix joyeuse et pacifique,
Chantait comme la harpe aux temples de Sion,
Et louait la beauté de la création.
Sa clameur, qu'emportaient la brise et la rafale,
Incessamment vers Dieu montait plus triomphale,
Et chacun de ses flots que Dieu seul peut dompter,
Quand l'autre avait fini, se levait pour chanter.
Comme ce grand lion dont Daniel fut l'hôtel,
L'océan par moments abaissait sa voix haute ;
Et moi je croyais voir, vers le couchant en feu,
Sous sa crinière d'or passer la main de Dieu.

Cependant, à côté de l'auguste fanfare,
L'autre voix, comme un cri de coursier qui s'effare,
Comme le gond rouillé d'une porte d'enfer,
Comme l'archet d'airain sur la lyre de fer,
Grinçait ; et pleurs, et cris, l'injure, l'anathème,
Refus du viatique et refus du baptême,
Et malédiction, et blasphème, et clameur ;
Dans le flot tournoyant de l'humaine rumeur
Passaient, comme le soir on voit dans les vallées
De noirs oiseaux de nuit qui s'en vont par volées.
Qu'était-ce que ce bruit dont mille échos vibraient ?
Hélas ! c'était la terre et l'homme qui pleuraient.

Frère ! de ces deux voix étranges, inouïes,
Sans cesse renaissant, sans cesse évanouies,
Qu'écoute l'Éternel durant l'éternité,
L'une disait : NATURE ! et l'autre : HUMANITÉ !

Alors je méditai ; car mon esprit fidèle,
Hélas ! n'avait jamais déployé plus grande aile ;
Dans mon ombre jamais n'avait lui tant de jour ;
Et je rêvai longtemps, contemplant tour à tour,
Après l'abîme obscur que me cachait la lame,
L'autre abîme sans fond qui s'ouvrait dans mon âme.
Et je me demandai pourquoi l'on est ici,
Quel peut être après tout le but de tout ceci,
Que fait l'âme, lequel vaut mieux d'être ou de vivre,
Et pourquoi le Seigneur, qui seul lit à son livre,
Mêle éternellement dans un fatal hymen
Le chant de la nature au cri du genre humain ?

Victor hugo

Bonne méditation au soleil du nord , du sud, de l'est ou de l'ouest

au fait j'espère que le retour n'est pas trop dur malo et j'ai hate de voir tes photos!